Susana Rinaldi voit le jour l’année de la disparition de Carlos Gardel (1935). Elle est la seule femme interprète de tango à avoir conquis une place d’honneur dans un monde d’hommes. A l’automne de sa vie, elle se livre pour la première fois à une caméra. Nous découvrons une artiste engagée,
amoureuse de littérature et de poésie “tanguera“.
Née à Buenos Aires de parents argentins, qui émigrent à Paris alors que j’ai dix ans. Mes acquis personnel et professionnel se nourrissent de ces deux mondes d’une façon toujours enchevêtrée. Architecte de formation, je me suis toujours passionnée pour les arts et particulièrement pour le cinéma, ce qui m’a conduit à intervenir sur des projets audiovisuels au détour des opportunités, et de me former en écriture et réalisation depuis 2008, où je me consacre exclusivement à cette activitéé.
Alejandro Ollivier
Pendant les nombreuses années de ma carrière journalistique, j’ai eu la chance de côtoyer et d’établir des liens étroits avec plusieurs personnalités du monde culturel argentin. Parmi elles la plus importante demeure Susana Rinaldi, qui fait désormais partie de ma vie et moi de la
sienne. Notre lien, d’abord professionnel, s’est peu à peu transformé en précieuse amitié. Elle fut d’un grand secours et conseil au moment de décider mon installation à Paris, ville où elle vécut une grande partie de son exil.
2019/2020
1er trimestre 2021
France, Buenos Aires
Susana Rinaldi, Ligia Piero, Alfredi Piro, Ines Rinaldi, Juan Carlos Cuassi, Juan Esteban Cuassi, Osvaldo Piero…
Connie Martin
Numérique 4K
